Tous mes meilleurs voeux pour la nouvelle année !

A vous Tous et "Toutes" pourquoi pas on ne sait jamais si des Audiophiles, Mélomanes ou tout simplement la gente féminine me lit j'aimerai souhaiter à tout le monde tous mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année remplie de joie et de bonheur !

En avant la musique et bonne santé "au sens propre et figuré" !

Quand une revue se déplace chez soi !

Je pense que dans le "petit" monde de la hifi presque tous connaissent les magasins spécialisés, surtout en romandie où le nombre peut se compter presque sur une main.

J'ai acheté quelques produits "amplis, préampli, câbles, etc..." chez Portier Hifi à la rue Verdaine à Genève, c'est un "gros" spécialiste du tube et du matériel haut de gamme de diverses provenances comme les Etats Unis en particulier mais la France et l'Allemagne aussi.

Portier Hifi à eu le droit ce mois-ci "décembre-janvier" à un reportage dans le magazine Suisse Ciné Home & Dvd Magazine, c'est un mensuel qui traite plus précisément du matériel home cinéma, des critiques sur les dvd et/ou films à venir.

Ciné Home & Dvd Magazine est allé faire un reportage "photo/descriptif" de 3 des nombreux clients de la Maison Portier afin de donner un aperçu sur l'intégration home cinéma et/ou haute fidélité dans des lieux différents.

Parmi ces 3 clients j'ai eu "le privilège" d'y être représenté dans le cadre d'une intégration haute fidélité et home cinéma.

Je reste bien loin de "l'épisode" full Goldmund dans un environnement dédié home cinéma mais qui ressemble beaucoup plus à une "vraie" salle de cinéma d'un particulier.

Il y aussi une très belle intégration en duo "hifi-home cinéma" dans un magnifique salon avec les mêmes amplis Manley Néo Classic 250.

Pour ma part, le côté haute fidélité reste la partie la plus "passionnante" et celle qui prend le plus de place dans ma pièce "dédiée" même si je dois dire que le passage en projection full HD avec lecteur Blue Ray se passe de tous commentaires tellement l'image est resplendissante.

Les 10 plus gros mensonges en Audio, phase 7 !

Nous continuons toujours dans les 10 plus grands mensonges en audio tirés du journaliste Peter Aczel.

7. Le mensonge du double câblage

Même des audiophiles plutôt sophistiqués tombent dans ce tour de passe-passe. Qui plus est, les fabricants d'enceintes participent à cette mascarade quand ils disent que les deux paires de connecteurs à l'arrière d'une enceinte servent autant à faire un double câblage qu'à bi-amplifier. Certains fabricants d'enceintes aux noms respectés sont coupables de cette prosternation hypocrite face aux sacrements des gurus : dans les faits, ils se soumettent aux "réalités" du marché.

La vérité est que bi-amplifier a un sens dans certains cas, même avec un crossover passif, mais le double câblage fait partie du domaine vaudou. Si on bouge les deux extrémités d'un câble vers les connecteurs où sont branchées les extrémités de l'autre câble, absolument rien ne change d'un point de vue électrique. La loi de physique qui dit cela s'appelle le principe de superposition. En termes électroniques, le théorème de superposition dit que qu'un nombre de tensions appliquées simultanément à un circuit linéaire résultera à une intensité qui est la somme exacte des courants qui résulteraient si les tensions étaient appliquées individuellement. Le vendeur hi-fi ou l'audiophile qui arrive à prouver le contraire serait instantanément un candidat pour quelques récompenses scientifiques et distinctions académiques. En même temps, il est seulement juste de dire que le double câblage ne fait pas de mal. Il ne fait rien simplement. Comme les aimants dans les chaussures.


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Mon sentiment :

Et bien comme toutes bonnes choses, c'est en essayant que l'on peut en parler plus précisément car combien de fois on peut débattre d'un sujet que l'on ne connait pas ou peu, reconnaissons tout de même qu'il faudrait être sourd pour ne pas entendre des différences entre le mono câblage, le bi ou même le tri-câblage.

Attention je dis bien "différence" car il pourrait y avoir des surprises "auditives" aussi mais peut-être pas dans le bon sens.

Serveurs numériques, l'avenir musical proche ?!

Tout le monde en parle actuellement, les serveurs Haute Fidelité arrivent sur le marché.

Que pouvons-nous en penser et à quel titre justement !

Cette nouvelle "invention" vient juste après le fiasco total du DVD Audio et du clash du SACD qui n'arrive pas à s'imposer autant pour les Audiophiles que pour les mélomanes car après leur petite "énorme" guerre des formats, c'est la juste récompense "financière" pour ces grands groupes qui veulent faire parler leur suprématie mais à quels prix.

Alors maintenant nous allons vivre l'ère des serveurs de musique, ceux-ci veulent se révéler comme la nouvelle source numérique à adopter dans un système hifi mais pour y parvenir il faut tout de même alimenter ce fameux serveur et de quelle manière aussi.

Il existe plusieurs possibilités d'enregistrements, comme le MP3 qui équivaut à une compression assez "cinglante" du morceau musical ou bien d'aller directement télécharger la bande Master dite Waw auprès de quelques producteurs de disques "Linn, Naim, etc.." mais à ce jour tous ne sont pas équipés pour satisfaire une telle demande.

Justement en terme de demande je ne pense pas qu'actuellement une telle demande existe vraiment pour le simple fait qu'énormement d'Audiophiles ou Mélomanes ont empilés un nombre important de cd chez eux et de fait ils ne seraient pas entrain d'aller télécharger des nouveaux disques et surtout d'acheter un serveur "à quel prix" pour y faire face.

Rappelons tout de même que le CD est arrivé à une très bonne qualité sonore depuis quelques temps déjà.

Voici justement une question qui me taquine quelque peu, c'est quel prix pour quel résultat in fine.

Faut-il dépenser plus cher que ce que l'on a actuellement en lecteur pour arriver à augmenter les performances audibles ou en payant moins cher le résultat serait-il aussi bon et sans parler du prix du cd "virtuel" téléchargé au même prix qu'un cd vendu dans les magasins, une hérésie commerciale.

Oui cette question est simple car si l'on considère de copier un de nos CD sur le serveur sans pertes "Losless" le rendu sonore passera par le serveur lui-même équipé de son propre convertisseur, donc de sa signature sonore aussi.

Pertes d'informations ou signature sonore différente ou les deux en même temps, allez savoir.

Nous nous sommes déjà tous plaints lorsque nous n'avions plus de vinyle, de toucher cette fameuse pochette, de sortir délicatement la galette noire, de passer la petite brosse pour enlever les petites poussières, de mettre le disque sur le "tourne disque" et d'y apposer le bras avec délicatesse, tout ceci s'est évanoui avec la progression du numérique "propre".

Dès "demain" nous nous substituerons aux serveurs, aux disques virtuels downloadés sur le net avec sa carte de crédit, nous aurons dans la main une nouvelle énième télécommande qui servira à lire les titres de notre discothèque et de les écouter, mais dans quelles conditions ?

Ces conditions seront celles imposées par les majors, rien d'autres, celles qui leur voudront le plus d'argent, peu importe la qualité ça sera le prix à payer pour pouvoir écouter de la musique importée par le net ou en copie d'une copie faite par un de nos proches.

Aujourd'hui nous avons le choix d'écouter un cd avant de l'acheter, de regarder "encore" sa pochette, de la sortir de sa boîte, de le copier ensuite sur d'autres supports, tout ceci reste une approche plus rationnelle pour tout Audiophile ou Mélomane mais demain sera l'ère du total numérique avec son installation à disque dur de 100 gigas raid 5 munis d'un écran tactile par lequel nous choisirons de voir un film, d'écouter un disque, de faire des vidéos conférences, de commander son pain bio, de lire le journal et j'en passe.

Toute cette technologie sera reliée à une seule prise électrique et le jour où l'on pètera les "plombs" nous nous débrancherons de cette nouvelle technologie pour se retrouver au coin du feu de cheminée en feuilletant des journaux, en mettant une K7 dans le lecteur et en fredonnant les vieux tubes d'antant avec nostalgie.

Ecoutes à l'aveugle.... ce fut ..... aveuglant !

Contrebasse High End a réunit un petit groupe de passionnés pour participer aux fameux tests à l'aveugle.

Le compte-rendu est ici.

VENDUES --- A vendre magnifiques colonnnes Dynaudio S 5.4 --- VENDUES

Je vends mes colonnes Dynaudio Contour S 5.4 qui m'ont enchanté pendant 2 ans et sur différents systèmes "voir sous tests".

Quelques spécifications :

Couleur Palissandre
Etat très bon
Achat fin 2006
1ère main
Hauteur 1m45
Largeur 21cm
Profondeur 41cm
Pas d'emballages


Lien avec Dynaudio sur les S5.4 chez Dynaudio US, c'est ici.

Ces colonnes sonnent aussi bien dans un grand volume que dans un moins grand comme par exemple le mien qui est d'environ 18m2.

L'amplification requise est de 50w à 300w mais de bons watts avec du courant, donc tubes ou transistors feront l'affaire.

La sonorité se veut neutre, précises avec une très bonne focalisation sans compter sur une très belle dynamique.

Un banc d'essai sur Prestige Audio Vidéo, c'est ici.

Prix neuf CHF 12'400.--

Vendues CHF 7'000.--

Le Salon de la Haute Fidelité à Paris, octobre 2008 !

Le Salon de la Haute Fidélité sponsorisé par le magazine français Haute-Fidelité s'est tenu les 25-26 octobre 2008 à Paris.

Les 21 salons étaient sur 3 niveaux, les pièces d'écoutes étaient de moyennes à grandes sans traitements spécifiques à la base, les appareils exposés étaient sans reliefs, comprenez "sans mises en valeurs".

Les racks en majeures parties étaient les Finite Elemente Pagode Référence dont la réputation n'est plus à faire.

Je ne ferais pas un long discours sur les problèmes de résonances des pièces d'écoutes car celles-ci "en partie" méritaient un meilleur traitement, donc mon "appréciation" sera "dirigée" non pas sur le réel plaisir d'écoute mais plutôt sur les qualités des systèmes et cohérence générale.

Tous les systèmes ne peuvent plaire à tout le monde, donc la diversité équilibrera les écoutes considérées bonnes, moins bonnes et excellentes selon ses propres appréciations personnelles, je ne ferai que 2 segments, un pour les bonnes et l'autre pour les moins bonnes.

Ecoutes très bonnes :

L'ensemble Métronome Technologie avec les hp Focus Audio Master 2, CD intégré Kalista, Préampli et blocs monos 100 watts en classe A selon Haute Fidelité.

Malgré la forte résonance du grave le potentiel était présent, les timbres superbes, attaques franches, très bonne musicalité, image sonore très grande.



ASR Ermitter II Exclusive avec alimentations sur batteries, lecteur CD Resolution Audio Opus 21, enceintes Focus Audio FP-90.

Une pêche du tonnerre, qualité de timbre superbe, une très belle musicalité, l'intégré qui remet les pendules à l'heure !



Ensemble Zanden, drive et convertisseur séparé, préampli et blocs monos 845, enceintes Eggleston Works Andra II.

Malgré que les hp étaient beaucoup trop éloignés et pas assez séparés du mur arrière l'écoute était de très grande classe, aéré, fluide, du grain et hyper musical, ça vaut cher mais ça vaut le "coup" !

Dans la même pièce un Cd Zanden intégré avec préampli et amplis monos Wavac sur colonnes Marten.

Super à tous les niveaux mais le plus venait sur les voix avec ce grain inimitable du tube de qualité, le grave n'était pas en reste, c'était tout simplement beau.

Bien sûr que la liste n'est pas exhaustive car il faudrait un article par écoute, le but n'est pas là non plus.

Je vais finir par les écoutes moins bonnes comme les ProAc , platine vinyle Avid Acutus Reference, ampli - préampli SimAudio.

Là c'était la catastrophe, je dirai presque comme d'habitude. Les ProAc demande de l'espace car leur grave est "grave", c'est lourd et si la pièce est petite cela devient l'horreur, c'était le cas. Les timbres étaient ternes, la dynamique molle, une démo inoubliable.



MBL c'était le petit système "selon Haute Fidélité" :

Le second système comprendra une paire d'enceintes 116, les dernières nées, l'entrée de gamme de la marque en matière de transducteurs à haut-parleurs pulsants MBL. Ces diffuseurs sonores seront drivés par un amplificateur inédit, dernier né et plus petit des amplificateurs Mono/Stéréo Mbl, un préamplificateur 5011, un convertisseur DAC 1511F et un drive 1511A (ensemble à 62 000 euros)

Et bien c'était lourd, le grave rond à souhait pour paraître sans définition avec un son de "caisse - réflex", l'image stéréo voulait en imposer "beaucoup trop" et sans compter les timbres pauvres... à éviter.

Je vais m'arrêter là car comme pour les bons systèmes, il faudrait beaucoup plus de lignes pour décrire chacun des systèmes.

Pour finir le système le plus bluffant était celui de M. Tschang, le gourou des coupelles et autres petits accessoires aux prix de fous.

Son système composé d'un ampli intégré Karan Acoustics KAI-180, enceintes modèles Tango d'Acoustic System, CD CEC TL1N et platine vinyle DPS.

C'est la deuxième fois que j'écoute des systèmes optimisés de M. Tschang et c'est la deuxième fois que je peux écouter à 1m50 un hp sans que cela me vrille les oreilles, même à un fort régime, les résonances ne sont pratiquement plus audibles, par contre le système devient un peu analytique et le son est plutôt "gauche-droite".

Le mot de la fin est pour Haute Fidélité, pourquoi ne pourriez-vous pas vous mettre en "accord" avec l'autre salon de la Hifi et du Home Cinéma pour que ces 2 salons se fassent en même temps ou décalés ????

Est-ce vraiment raisonnable votre petite gueguerre qui n'apporte rien, sinon de vous rendre un peu ridicule les uns et les autres.

Manley Neo-Classics 250 vs Cary Audio Design CAD500, le match !

Il y a des jours où l'on se dit qu'il est préférable de revoir ses "copies" et des fois où l'on se laisse bercer par le temps qui passe.

Et bien en ce qui me concerne j'ai préféré revoir mes copies d'Audiophile pour connaître si un contradicteur amplifié pourrait me faire changer d'avis sur le couple préampli Cary SLP05 et mes blocs monos Cary CAD500 "transistors".

Donc pour faire la fine bouche il ne fallait pas essayer quelque chose de transistorisé car le but était plutôt de savoir si du tube pouvait rivaliser et surtout si mes Dynaudio S5.4 pourraient sonner correctement.

Chose dite, chose faite en prenant sous le bras "c'est une image bien sûr" les magnifiques blocs monos Manley Neo-Classics 250 à tubes délivrant 100 watts en mode triode et 250 watts en mode tétrode.

Les conditions d'écoute sont les miennes, donc forcément avec beaucoup points de repères sans compter que le but final est de savoir qui fait quoi et comment vis-à-vis de "son" rival.

Peut-être une chose assez fondamentale est que j'ai et j'adore le son tube, bien sûr pas celui qui ne tient pas le grave et qui distille un médium uniquement mais celui qui sait faire swinguer la musique avec rigueur mais avec chaleur.

Les Cary CAD500 sont des blocs que j'ai depuis quelques mois, j'ai toujours été très satisfait de leurs "compétences" grâce en grande partie à leurs watts (500 sous 8 ohms) qui doublent à chaque fois lorsque l'impédance change.

Donc assez de watts et de courant pour délivrer une très bonne musicalité, une fluidité assez extraordinaire pour ses monstres de puissance.

L'image sonore est tridimensionnelle, large et assez profonde, l'aigu file haut avec assez de délicatesse, le médium est bien en phase avec une belle présence, le grave quant à lui descend de belle manière avec aplomb, ça cogne quand il faut et sait s'effacer aussi.

Maintenant au tour des blocs monos Manley Neo-Classics 250, ils répondent présent en mode tétrode, ça pousse fort partout, une présence phénoménale et une belle pression acoustique aussi, l'aigu est fin et assez riche mais monte un peu moins haut que les Cary, le médium affiche cette particularité du tube, une présence, du grain et de la matière quant au grave il a du niveau, il descend relativement bas et maîtrise parfaitement les Dynaudio.

En passant en mode triode on peut retrouver une fluidité de premier ordre, un aigu qui sait distiller une palette de variation sans pour autant monté super haut, le médium est riche d'information, pas besoin de comprendre que nous avons à faire à du tube de très bon aloi et le grave lui, il ne reste pas muet, bien au contraire, il varie très bien et descend de manière très convaincante, par contre lorsque le message devient complexe et soutenu il montre tout de même ses limites en tenue.

La grande force de ces Manley Neo-Classics 250 est la dynamique, on remarque très vite les écarts aussi subtiles soient-ils, tout est retranscrit de manière à faire écouler la musique comme au concert, tout est en accord et on laisse tourner les morceaux pour se rendre compte que les interprètes "travaillent" en communauté.

In fine les Manley Neo-Classics 250 remportent le match sur presque tous les points sauf sur le grave lorsqu'il est complexe "type 3 contrebasses descendant très bas", sinon c'est du pur bonheur.

Effectivement mes Dynaudio S5.4 sont gourmandes et très demandeuses mais c'est tout relatif aussi au vue de ma pièce d'écoute relativement petite avec encoignures, donc je dirai qu'il est possible de faire nettement mieux dans un autre cadre.

Et puis en hiver c'est sympa le tube, il réchauffe l'atmosphère, éclaire ses auditeurs et font de la belle musique par dessus tout !

DarTZeel et la passion d'un concepteur !

Hervé Delétraz pour ne pas le nommer est le fondateur de la Société darTZeel , cette firme Suisse est assurément l'un des très beau fleuron de la maîtrise en Haute-Fidélité.

Hervé est un grand passionné de la musique et surtout de la technologie, après plus de 16 ans à étudier son ampli NHB-108 model one de 100 watts,il l'a réalisé pour ensuite le commercialisé, plus particulièrement aux USA.

Toutes les questions qu'il pouvait se poser ont été vite récompensées, son ampli a été plébiscité dès son premier show par la revue spécialisée Stereophile, il a remporté Joint Product of the Year 2005 entre autres.

Depuis il s'est "amusé" à réaliser un nouveau préampli NHB-18NS, un pré de course avec une entrée phono des plus élaborées, toutes les caractéristiques sont ici.



Ces derniers temps il finalise son ampli intégré CTH-8550 développant 220 watts est une magnifique machine à tous les points de vue.

Par l'entremise de JP "que je remercie encore" j'ai pu avoir la possibilité avec 2 de mes connaissances de le rencontrer et c'est avec un grand plaisir que nous avons pu voir et entendre ces produits dans sa pièce d'écoute.

Le plus grand choc à été de voir ses majestueuses enceintes Evolution Acoustics modèle MMThree, ce sont des 3 voies avec deux graves amplifiés "1000 watts", 2 médium "céramics" ainsi qu'un tweeter à ruban.

Ces enceintes font environ 2 mètres de haut, on ne peut pas les mettre n'importe où, c'est évident mais comme la finition est exemplaire en laqué ça pourrait être une magnifique pièce de "décoration" dans son salon.

La société darTZeel s'occupe justement de la distribution de ce magnifique produit qui provient des US.


Place à l'écoute qui s'est faite en premier avec son intégré, la restitution était de très bonne qualité, l'ampli ne souffrait pas puisqu'il ne drive que les médium - aigus, donc pas d'essoufflement.

La qualité première de ce système complet est la maîtrise et la rigueur, pas de place à l'approximation, c'est limpide, ça descend bas quand il le faut et monte haut aux moments propices, les voix sont retranscrites de manière très homogènes, tout fourmille de détail dans cette fréquence, on a presque l'impression d'écouter un ampli à tubes mais avec moins de folie tout de même.

Lorsque l'on passe à l'ampli-pré-ampli séparé, c'est autre chose, les caractéristiques sont identiques "signature sonore" mais on franchit un pas très "marqué", tout devient plus grand, encore plus précis, plus détaillé, bref un grand saut en avant.

Ce qu'il faut dire c'est qu'Hervé aime faire des écoutes à niveau réaliste, donc pas de place à la mélancolie, le grave ou plutôt dirai-je l'extrême grave vient vous dire qu'il descend avec aplomb, c'est du solide-costaud comme on pourrait dire et surtout quand c'est de l'actif !!!!!

Les écoutes sur vinyle "collection incroyable" laissaient place à cette mélodie "analogique", c'est bien plus plein comparativement au CD, ça descend "peut-être" un peu moins bas mais sur du LedZep..... ça dégage très très fort.

Voilà une bien belle expérience faite avec un concepteur qui sait ce qu'il se veut et mérite bien sa place dans le monde du High-End international.

Merci encore pour cette "démonstration" et pour ton chaleureux accueil.

Tout le monde en parle, la nouvelle Gamme Utopia III arrive !

Pour tout audiophile la marque Focale JMlab est connue voir archi-connue car celle-ci perdure dans le temps grâce aux recherches techniques et physiques mais aussi et même surtout à leur gamme Utopia qui se veut le fleuron de la marque.

Pas besoin de dire que la gamme Utopia (I, II et III) n'est pas réellement accessible pour le commun des mortels par contre rien n'empêche de jeter un oeil et une oreille sur leurs réalisations.

5 ans après avoir sorti ses modèles Utopia beryllium c'est au tour de la nouvelle série Utopia III représenté par la Grande Utopia, la Scala et la Diablo et là, attention les yeux, c'est tout simplement spectaculaire.

La finition est au top sans compter sur la ligne du produit, les couleurs et bien sûr à la technique "évolution".

Comme mentionné sur le site de Focale JMlab :

Grande Utopia, ce ne sont pas seulement des enceintes qui ont marqué leur génération. C'est aussi le concept le plus aboutit de "Spirit of Sound", l'ultime référence. Après les cônes "W", le tweeter en Béryllium pur des précédents modèles qui avaient réalisé la rupture technologique, la Grande Utopia EM adopte un woofer à électroaimant (EM) d'une force sans commune mesure avec les technologies classiques. A performances superlatives, un style unique : la Grande Utopia EM n'est plus seulement un monument technologique, c'est aussi une sculpture acoustique.

Bon je n'ai pas pu écouter ces magnifiques "objets" mais si la ramage vaut le plumage ça va faire mal.

Ah oui j'allais oublié l'essentiel, le prix de la Grande Utopia III, c'est 130'000.-- la paire et en EUROS s'il vous plait!

Alors pour ceux qui n'ont pas les moyens financier pour acquérir cette nouvelle ligne il reste les "liquidations" de stock sur l'ancienne gamme qui est déjà très belle et fonctionne à merveille.

Ecoute "at home" chez Marc, une pièce musicale !

Contrebasse High End s'est rendu chez Marc pour une écoute "at home".

Tous les détails, impressions et photos sont ici.

A l'aube d'une écoute d'automne !

Quelle différence entre une écoute qui vous berce et une qui vous enchante ?

Celle qui vous berce vous fait rêver "assis" tandis celle qui vous enchante vous fait croire que quelque chose est devant vous et vous intéresse, on reste les yeux ouverts pour mieux "entendre" et comprendre ce qu'il se passe.

Alors hier j'ai entendu quelque chose qui m'a enchanté ce fut sur un système de premier ordre, ça se passait chez le spécialiste du tubes Romand, la maison Portier à Genève qui venait de recevoir en digital de l'Accustic Arts, les spécialistes Allemands.

Description du système :

Lecteur CD Acustics Arts 1
Converto Acustics Arts 1
Préampli Cary SLP05 "tubes"
Ampli Cary CAD120S "tubes" 2x60 watts mode triodes ou 120 watts en ultralinéaire
HP Proclaim
Le tout câblé en Kimber Kable

Pas besoin de passer toute sa discothèque pour comprendre que l'on a devant soi un système de reproduction musical de très haut niveau, des timbres justes avec une finesse de premier ordre, une belle densité et de la matière comme je les aime, un grave bien présent avec une très bonne descente.

Le principal point fort est la musicalité, ça chante, rien à voir avec une écoute "numérique", c'est détaillé à souhait et fluide.

J'ai toujours un faible pour les maillons à tubes, ils donnent toujours une dimension plus humaine à la musique "enregistrée", c'est plus fluide et chaud, on a plus l'impression d'être en face d'un message musical "analogique", il n'y a pas d'accrocs.

Vous l'aurez compris, un bien beau système qui se laisse déguster et nous laisse un gout assez prononcé sur ce que représente le terme musical au sens pur du terme pour une source digitale.

Rack, pointes de découplages, association à suivre .......

Et si votre installation était dans un rack, serait-elle meilleure qu’en dehors ?
Le fait de pouvoir loger ses appareils haute-fidélité dans un endroit précis est logique du fait de la longueur des câbles de modulations et haut-parleurs aussi.
Donc de poser tout simplement ses appareils sur un meuble à son incidence et même de très grosses variations sonores.
Les tubes sont très sensibles aux vibrations et de fait doivent se trouver complètement isolés par le biais de pointes de découplages au minimum, le rendu en sera plus riche et plus précis.
Quant aux électroniques transistorisées, c’est pareil.
Les vibrations qui transitent entre le sol et les fréquences des haut-parleurs viennent énormément perturber ces appareils.
Les pointes de découplages de type soundspike (électrocompaniet) sont très bonnes car elles permettent de ne pas avoir la mauvaise surprise de rayer le parquet et surtout de ne pas s’enfoncer dans ledit sol car la pointe est enfermée dans un gabarit.
Sinon le must, c’est la pointe de chez ……… du « professeur » Chang qui soit dit en passant présente ses produits d’une manière très intéressante pour ceux qui ont eu le privilège de le voir en action parait-il « ce n’est pas encore mon cas ».
Le prix reste très très dissuasif par contre l’efficacité n’est plus à démontrer.
Pour ce qui concerne les racks, plusieurs marques sont très bonnes.
En ce qui me concerne, j’ai eu le rack Solidsteel 6.4 qui se veut être le haut de gamme grâce à ses pointes de découplages haut de gamme qui sont emboitées entre la planche et ledit rack sans compter aux contrepointes inversées réglables pour affiner le découplage optimal.
Le résultat sonore comparativement au rack Lovan était la précision de la scène sonore, le grave devenait nettement plus ferme, mieux différencié par rapport au reste du spectre.
La dernière étape a été l’acquisition du meuble Pagode Master Référence de chez Finite Elemente, là tout a été amélioré, meilleure précision, focalisation, tenue du grave et la scène sonore qui s’ouvrait sans compter un poil plus de douceur.
Auparavant mon système ne donnait pas sa pleine mesure de part le fait que l’association transistors avec les Ess Amt 330 ne semblait pas être le mariage parfait, les Ess avaient besoin d’une amplification à tubes.
Hélas l’intégration du Pagode avait détruit un peu plus mon système en faisant ressortir le côté trop pointu, trop « raide » de mon association.
J’avais gagné malgré tout en douceur « toute relative » et en précision mais cela ne me permettait pas d’écouter ma musique de manière reposante hélas….
Mon dernier test est d'avoir intégrer mes blocs mono Cary M500 dans le Pagode, auparavant ils étaient sur le sol, la différence est totale avec les mêmes améliorations "grave plus ferme et détouré, attaques plus franches et douceur accrue".
Voici un peu de mon expérience sur les pointes de découplages et des racks qui font parler énormément couler d’encre.
Je terminerai par :
Ces accessoires font chanter ou déchanter votre système uniquement si vos maillons ne sont pas de bons associés.

A vendre 1 paire de ProAc D25 !

Pour une de mes connaissances, à vendre 1 paire de ProAc D25 en finition Birds Eye Maple.

Les caractéristiques sonores sont l'ampleur, la facilité à faire passer le message musical qui est tout sauf chirurgical,tout est retransmit de façon harmonieuse et détaillée quant au grave il est tout simplement bluffant, il a de la matière et de la densité, il a du niveau et une formidable descente, du pur plaisir.

Dimensions 1m10 de haut, largeur 22cm, profondeur 25cm.

2 voies dont le grave-médium de 16,5cm

Finition magnifique Birds Eye Maple

Etat très bon

Année 2004

Cartons et mode d'emploi.

Valeur neuves CHF 8'500.--

Vendues CHF 3'500.--

A vendre 1 paire de câbles Kimber Select KS1030 - VENDU

VENDU--VENDU Pour une de mes connaissances, à vendre 1 paire de câbles Kimber Select KS1030.

L'écoute est de haute qualité, précision, ouverture, neutralité, rapidité sont les caractéristiques de ce câble haut de gamme de la série Select.

Ce câble est équipé des prise WBT argent, elles ne sont pas de la génération NextGen.

De fait le câble était vendu à CHF 2'000.-- environ il y a 3 ans, actuellement avec les prises NextGen il est vendu à CHF 4'000.--.

Le prix demandé est de CHF 900.--

L'état est très bon.

VENDU - VENDU - A vendre câbles Kimber haut parleurs KS3033 !

VENDU - VENDU - VENDU Une de mes connaissances se sépare de son câble KIMBER KS3033.

C'est un câble à structure cuivre de la série Select, les caractéristiques sonores sont basées sur la musicalité et sur la qualité des timbres, une très grande sensation de liberté se fait ressentir dès les premières notes.

Etat neuf

Longueur 2m40

Prises bananes Argent "pas identiques que sur la photo"

Boîte Pelican

Prix neuf CHF 4'000.-- environ

Prix proposé CHF 2'000.--.

Les 10 plus gros mensonges en audio, phase 6

Voici la phase 5 des 10 plus gros mensonges en Audio.

6. Le mensonge du rôdage

Ce tissu de conneries (bullshit) largement réitéré consiste à faire croire que les éléments audio électroniques, et même les câbles, produiront un "meilleur son" après une période de rodage de quelques jours ou semaines ou mois (oui, mois). Pure connerie.
Les capacités (des condensateurs) prennent "forme" en quelques secondes après la mise sous tension.
La tension des transistors se stabilise en quelques minutes (et tout cela ne devrait pas du tout avoir d'importance capitale dans un équipement bien conçu, pour commencer).
Il n'y a absolument aucune différence en terme de performance entre la première heure d'utilisation d'un amplificateur (ou pré-amplificateur ou lecteur CD) et la 1000eme.
Quant aux câbles, aïe... Nous avons à faire à des vaudous audiophiles plutôt qu'à la science. [...]

Les enceintes, cependant, peuvent exiger une période de rodage de quelques heures, peut-être un jour ou deux, afin d'atteindre des performances optimales, cela parce qu'elles constituent des systèmes mécaniques avec des pièces mobiles sous la contrainte qui a besoin d'y régner. (La même chose est vraie pour les appareils avec effets de retour et les armes à feu.)
Cela ne veut pas dire qu'une enceinte n'aura pas un "bon son" en sortant de l'emballage, pas plus qu'une voiture avec 15km au compteur ne sera pas bonne à conduire.

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Mon avis : Et bien tout le monde ne peut pas dire qu'après quelques heures d'écoutes, ses appareils, câbles ou enceintes ne donnent pas la même sonorité car la différence est toujours sensible, c'est indéniable.
Oui c'est vrai que le fait d'écouter tout le temps son propre système permet d'être beaucoup plus attentif aux effets du rôdage et peut-être qu'un auditeur "lambda" ne pourrait pas reconnaître la différence, c'est un peu normal.

VENDU- VENDU- A vendre magnifique ampli intégré Musical Fidelity Trivista 300

VENDU-VENDU-VENDU Pour une de mes connaissance je mets en vente sur mon blog :

Magnifique Ampli Intégré MUSICAL FIDELITY TRIVISTA 300

Limité à 500 exemplaires

Deux chassis de même finition Chromée

Un de 16 kg uniquement pour les alimentations et l'autre de 30kg pour la partie pré et ampli.

Véritable double mono. 350 watts 8 Ohms et 600 watts 4 Ohms.

Etat comme neuf pas une marque, avec cartons.

Aucun soucis pour driver n'importe quel type d'enceintes.

Son très ample avec de la matière, doux, dynamique et parfaite maîtrise du grave.

Prix neuf env. CHF 9'000.-

Prix demandé CHF 3'500.--

Les 10 plus gros mensonges en Audio, phase 5 !

Voici la phase 5 des 10 plus gros mensonges en Audio.

5. Le mensonge du feedback (retour en boucle sur l'amplificateur opérationnel)

Un feedback négatif dans un amplificateur ou un pré-amplificateur est mauvaaaais. Pas de feedback du tout est boooon. Tel est le mensonge largement invoqué.

Le fait est qu'un feedback négatif est l'un des outils les plus utiles disponible pour créer des circuits.

Cela réduit la distorsion et augmente la stabilité. Seul à l'Age de bronze de la conception d'amplificateurs (à transistors), dans les années 60 et au début des années 70, le feedback était utilisé de manière si radicale et sans discernement par certains fabricants que le circuit pouvait avoir divers types de problèmes.

Ce fut le début du fétichisme anti-feedback. Au début des années 80, un nombre de publications fondamentales d'Edward Cherry (Australie) et Robert Cordell (USA) ont, sans l'ombre d'un doute, mis en lumière qu'un feedback négatif est totalement bénin tant que certaines règles sont strictement observées.

Assez de temps s'est écoulé depuis pour que la vérité soit comprise. Les tenants du dogme anti-feedback sont soit malhonnêtes, soit ignorants.

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Mon avis : Et bien là je n'en ai pas réellement, car le degré technique concernant un circuit avec ou sans feedback n'est pas dans mes connaissances "techniques".... hélas mais si quelqu'un peu nous en dire plus, c'est avec grand plaisir !

Compte-rendu de M.D. sur des tests de câbles, Kimber Kable entre autres !

Sur le blog de Contrebasse High End un nouvel article y a été fait concernant des tests "at home" de M.D. sur sa propre installation haut-de-gamme.

Contrebasse High End, Ecoute "at home" chez C.K, So British Equipment !

Un relai concernant Contrebasse High End faisant un compte-rendu suite à une écoute chez un particulier.

C'est ici.

Les 10 plus gros mensonges en Audio, phase 4 !

La 4ème phase des des 10 plus gros mensonges pour les tests à l'aveugle, là nous touchons systématiquement le paramètre le plus intéressant.

4. Le mensonge contre le test d'écoute en aveugle

Les lecteurs réguliers de cette publication savent comment réfuter les divers mensonges invoqués par ceux qui vouent un culte au haut de gamme pour s'opposer aux tests d'écoute en aveugle (tests ABX), mais une brève explication est nécessaire ici.

La méthode ABX demande que l'équipement A et l'équipement B soit ramenés au même niveau sonore à ±0.1 dB, après quoi on peut écouter aussi longtemps que voulu pour identifier totalement A et identifier totalement B. Si on pense qu'ils sonnent différemment, il est demandé d'identifier X qui est soit A ou B (comme déterminé par un processus de randomisation doublement caché). On est autorisé à faire des comparaisons A/X et B/X à n'importe quel moment, autant de fois voulues pour décider si X=A ou X=B. Comme une réponse au hasard mène au bon résultat 50% du temps, un minimum de 12 essais est demandé pour une validité statistique (16 seraient mieux, 20 encore mieux). Il n'y a pas de meilleur moyen pour déterminer scientifiquement si on affirme juste entendre une différence ou si on peut vraiment l'entendre.

Les gurus vous diront que les tests ABX sont complètement invalides. Tout le monde sait qu'un Krell a un meilleur son qu'un Pioneer, alors s'ils sont indiscernables l'un de l'autre dans un test ABX, c'est que la méthode ABX est mauvaise : c'est leur logique. Tout le monde sait que Joe est plus grand que Mike, alors s'ils mesurent tous les deux 5'11'' il y a quelque chose qui cloche avec le mètre ruban, n'est-ce pas?

Les objections habituelles des gurus face aux test ABX sont qu'il y a trop de pression (du genre "voyons à quel point vous entendez bien" ), trop peu de temps (du genre "continuez, nous avons besoins de 16 essais" ), trop d'éléments insérés sur le chemin du signal (càd. relais, switches, atténuateurs, etc.) et bien sûr le jargon assorti sur la perception sonore. Tout cela n'est que fausses pistes pour détourner l'attention des fondements du contrôle du test. La vérité est que l'on peut faire un test ABX tout seul, sans pression de la part d'autres participants, que l'on peut prendre autant de temps que voulu (pourquoi pas 16 essais en 16 semaines?), et que l'on peut vérifier la transparence des systèmes de contrôle. Les objections sont totalement boiteuses et hypocrites.

Voilà comment on met à terre un hypocrite anti-ABX mentant, fumeux et sournois. Demandez lui s'il croit à un type de test A/B. Il dira sûrement oui. Alors demandez lui quelle perspicacité spéciale il gagne à (1) ne pas ramener les niveaux sonores à la même valeur et (2) regarder furtivement vers les plaques avec le noms des appareils. Regardez le se tortiller et perdre contrôle.

Mon avis sur la question :
Et bien il faut l'admettre, ce genre de tests prouve A + B que notre oeil critique le premier et l'emporte souvent sur notre pouvoir d'analyse objective.

Il m'est arriver de tester à l'aveugle 3 câbles que je connaissais bien et je me suis trompé sur les qualités d'un câble par rapport à l'autre, par contre ce n'était pas sur mon système "point de repère" et ceci n'est pas négligeable non plus.

Quant à savoir si un câble marche mieux qu'un autre, le plaisir est d'en être convaincu et si celui-ci est une marque que nous chérissons mais peut-être moins bien qu'une autre, peu importe tant que le plaisir est là en face de soi et tous les jours.

Les 10 plus gros mensonges en audio, phase 3.

La 3ème phase des des 10 plus gros mensonges en audio concernant le digital.

3. Le mensonge antidigital

Vous l'avez souvent entendu, sous une forme ou une autre. A savoir : le son digital est largement inférieur à l'analogique. Le son numérisé est comme la photographie basique constituée de points dans un journal. Le théorème de Nyquist-Shannon est faux. Le taux d'échantillonnage de 44.1kHz des disques compacts ne peut pas rendre les hautes fréquences là où il n'y a que deux ou trois points d'échantillonnage. Le son numérique, même dans les meilleurs cas, est dur et haché. Et ainsi de suite... tout cela, sans exception, radotage ou présentation délibérée sous un mauvais jour. Une fois de plus, ce mensonge a peu d'impact dans la masse chez qui les technologies digitales ont gagné une totale acceptation ; mais dans les arcanes et parmi les tributaires du monde audio, dans les salons audio haut de gamme obstinés et les salles d'écoutes de divers gurus, cela reste une ligne de conduite.

La plus risible manifestation du mensonge antidigital consiste à préférer le LP obsolète plutôt que le CD. Quant à choisir entre la bande master analogique et la bande master numérique, ceci reste une controverse semi-respectable. Mais choisir les clics, pops et craquements du vynil plutôt que le silence (pas de bruit de fond) des creux constituant les donnés numériques, ceci constitue une rejet pervers de la réalité.

Voici les faits scientifiques que n'importe quel étudiant en électronique (2nde année) peut vérifier pour vous : l'audio numérique possède des arguments irréfutables que l'audio analogique n'a jamais eu et ne peut pas avoir. Les 0 et 1 sont de manière inhérente incapables de créer de distorsion dans le signal, contrairement à une courbe analogique. Même un taux d'échantillonnage à 44.1kHz, le plus bas employé dans les applications hi-fi actuelles, restitue plus que de manière adéquate toutes les fréquences audio. Il ne causera aucune perte d'information dans la plage (des fréquences) audio : pas un iota, pas un scintilla. L'argument "comment restituer 20kHz avec deux points d'échantillonnage ?" est une mauvaise interprétation basique du théorème de Nyquist-Shannon. (Ceux qui ont des doutes devraient prendre des cours élémentaires de systèmes digitaux.)

La raison pour laquelle certains enregistrements analogiques sont meilleurs que certains enregistrements numériques est que les ingénieurs ont fait un meilleur travail concernant le placement des microphones, les niveaux (d'enregistrement), la balance et l'équalisation, ou encore que la pièce où a été effectué l'enregistrement avait une meilleure acoustique. Certains des premiers enregistrements numériques était en effets durs et hachés, pas parce qu'ils étaient numériques mais parce que les ingénieurs pensaient encore analogique, compensant par anticipation des pertes qui n'existaient pas. Les meilleurs enregistrements numériques actuels sont les meilleurs enregistrements jamais réalisés. Pour être juste, il faut admettre qu'un enregistrement analogique réalisé dans les meilleurs conditions possibles et un enregistrement numérique enregistré dans les meilleures conditions possibles, à ce niveau de leurs technologies respectives, seront probablement de qualité comparable. Néanmoins, le nombre de Druides Analogiques en adoration devant l'Arbre aux Merveilles décroît rapidement dans l'univers de l'enregistrement professionnel.
La solution digitale est simplement la meilleure solution.

Mon avis
Il est vrai que lors d'écoutes comparatives entre vinyles et compacts discs de très bons niveaux il devient dur même très dur à dire que l'un est nettement meilleur que l'autre.
Le digital a fait un bond en avant de manière assez spectaculaire et les qualités d'enregistrements vont du médiocre à l'excellent, comme d'habitude !

VENDUES - A vendre magnifique paire d'enceintes KEF Q11 !

Pour une de mes connaissances, je vends : VENDUES --- VENDUES

1 paire d'enceinte Kef Q11, très belle finition en bois clair "comme sur la photo".

Dimensions (H x W x D) 1050 x 258 x 366 mm, poids 19kg environ.

2 années d'utilisation.

Etat impeccable (pas une marque).

Seul et unique propriétaire.

Vendues avec accessoires d'origine, carton, fiche technique, mousses pour les évents du grave, pointes.

Bornier permettant le bi-cablages.

Les caractéristiques sont ici.

L'écoute est très belle, très musicale et d'une très grande ampleur, superbe cohérence des registres(système concentrique), grave consistant avec une belle extension pouvant être diminué au besoin avec les mousses d'origine, médium-aigu précis, chaleureux, faisant la part belle aux voix avec une très belle fusion des deux registres.

Prix neuf Fr.s. 2'800.- en vente pour Fr.s. 1'400.-

Les 10 plus gros mensonges en audio, phase 2.

La suite des 10 plus gros mensonges en audio avec le no2 sur les amplis à lampes.


2. Le mensonge des lampes (des amplificateurs)
Ce mensonge est également, dans un sens, à propos d'un problème périphérique, car les lampes sont loin d'être répandues à l'époque du silicium. C'est un mensonge persistant néanmoins dans le marché haut de gamme de l'audio ; comptez juste le nombre de pages de publicités consacrées aux appareils à lampes à la fin d'un magazine hi-fi typique. Incroyable ! Tout comme l'est, bien sûr, l'affirmation que les lampes sont de manière inhérente supérieures aux transistors dans les applications audio : n'y croyez pas.

Les lampes sont bonnes pour les transmetteurs RF de forte puissance ou les fours à micro ondes, mais au moment de changer de siècle, pas pour les amplificateurs, pré-amplificateurs ou (bon dieu !) les appareils digitaux comme les lecteurs de CD ou DVD. Qu'y a-t-il de mal avec les lampes ? Rien, vraiment. Il n'y a rien de mal avec des dents en or non plus, même pour les incisives supérieures [...] ; c'est juste que l'art dentaire moderne offre des options plus attractives. Tout ce que les tubes peuvent faire dans un appareil audio, des équipements sans lampes peuvent le faire mieux, à un moindre coût, avec une plus grande fiabilité. Même l'amplificateur à lampes le mieux conçu au monde aura une plus grande distorsion qu'un amplificateur à transistors aussi bien conçu et aura presque certainement besoin de davantage de maintenance (remplacements des lampes, recalibrage, etc.) pendant sa durée de vie. [...]

En ce qui concerne "le son des lampes", il y a deux possibilités :
1. c'est une invention de l'imagination de l'audiophile trompé
2. c'est une coloration délibérée introduite par le fabricant pour entretenir des préférences altérées, et dans ce cas un amplificateur sans lampe pourrait facilement en imiter le son si le concepteur avait été assez pervers pour vouloir qu'il en fût ainsi.

Néanmoins, il existe des situations dans lesquelles un concepteur sophistiqué d'électronique hi-fi pourrait considérer l'usage de lampes (par exemple au niveau RF d'un tuner FM), mais ces exceptions rares et pratiquement limitées ne peuvent couvrir les mensonges courants et d'une grande variété des vendeurs de tubes qui veulent qu'on investisse dans une technologie obsolète.

Mon avis :
Il est vrai que la distorsion est nettement supérieur qu'aux transistors il n'en reflète pas moins que l'écoute d'un ampli à tubes reste dans la majeur partie des cas plus agréable que le transistors.

Je ne dis pas supérieur mais agréable et le fait de pouvoir marier les tubes avec du bon rendement ne laisse jamais indifférent le moindre mélomane ni audiophile et tout le monde sait pertinemment qu'il y a une durée de vie limitée aux tubes.

Comme quoi la distorsion peux être mélodieuse.

Les 10 plus gros mensonges en audio, phase 1.

Ok on va me dire que pour un Audiophile d'autant plus qu'avec Contrebasse High End je conseille des câbles haut de gamme Kimber, donc faire ce genre d'article n'est pas sensé, mais pardonnez-moi je pense qu'il y a plus de sens que de non sens car en audio tout ne va pas dans le bon "sens" quelque fois, alors restons à l'écoute.

Le blog pasbanal.com cite un article "traduit en français" de Peter ACZEL dans le n°26 de The Audio Critic, il a pour titre The 10 biggest lies in audio, comprenez les 10 plus gros mensonges en audio.

Donc je me permets de mettre le premier thème, les autres suivront.

1. Le mensonge du câble

Logiquement ce n'est pas le mensonge par lequel commencer car les câbles sont des accessoires, pas des composants audio principaux.

Mais c'est le plus gros, le plus sale, le plus cynique, le plus insultant envers l'intelligence, et par dessus tout le mensonge le plus frauduleusement profitable en audio, et il doit donc être placé en tête de liste.

Le mensonge consiste à dire que des câbles pour haut-parleurs et des fiches de connexion onéreux produisent un meilleur son que des produits standards, moyenne gamme (du genre de ceux de Radio Shack).

C'est un mensonge qui à été montré, mis en disgrâce, et réfuté maintes et maintes fois par chaque véritable autorité existante, mais les gurus de l'audio détestent l'autorité et les innocents ne peuvent distinguer cela d'un charlatanisme destiné à servir leurs propres besoins.

La seule vérité est que la résistance, l'inductance et la capacité (R, L et C) sont les seuls paramètres affectant les performances sous le seuil des fréquences radio.

Le signal ne sait pas s'il est transmis à travers un câble (RLC) cher ou bon marché.

Oui, il faut payer un peu plus que le prix plancher pour des fiches correctes, le blindage, l'isolation pour éviter des problèmes de fiabilité, et il faut surveiller la résistance pour des connexions longues.

En terme de performance électrique simple, néanmoins, un câble fait à partir de cintres redressés avec les bouts dénudés n'est pas d'un iota inférieur à un câble miracle de $2000.

Pas plus que ne l'est un classique câble pour lampe à 18c par pied.

Les câbles d'un prix extrêmement élevé constituent la plus grosse arnaque dans l'électronique grand public, et observer la capitulation pleine de lâcheté de la plupart des publications sur l'audio face à la pression des vendeurs de câbles est véritablement déprimant.

Mon avis :
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec son article car il faut écouter une multitude de câbles avec un système bien établit, il ne sert à rien non plus de savoir si le câble le plus cher vaut aussi cher car tout le monde sait bien qu'un câble haut de gamme est toujours "très ou trop" cher.
Par contre gageons que celui-ci soit en dessus du lot car seule la comparaison mérite une attention et non pas un préjugé mal fondé et si le résultat est de la partie.... alors c'est qu'il y a un câble qui "chante" mieux qu'un autre !

A la recherche du son perdu !

Titre un peu bizarre mais en réalité dans la hifi, que recherchons-nous ?
Lors des concerts de tous genres nous acceptons volontiers d'être à la merci du chef d'orchestre en la personne qui mixe, non ?
De notre place assise ou debout, devant ou derrière un autre auditeur ou à côté d'autres personnes qui parlent ou murmurent durant la représentation.
N'est-il pas vrai aussi que lorsque notre place a été achetée bien avant la date n'étions-nous pas en pleine envie d'y aller et le jour même, qu'en est-il ?
L'excitation, la foule, l'ambiance, le lieu tout est réunit pour nous faire passer "normalement" une bonne soirée.
Alors pourquoi nous obstinons-nous à recréer quelque chose par du virtuel puisque le concert n'a pas été joué dans notre salon ?
Donc c'est tout simplement le soucis d'aller toujours plus loin dans notre recherche et de s'approcher de ce que nous avons ressentis un certain jour en quelque sorte.
C'est là ou tout se complique car d'avoir écouté un concert ou même plusieurs, ils ont été tous différents, alors lequel choisir ?
Bon on peut dire qu'il y a toujours cette signature live qui nous fait tant vibrer et c'est celle-ci que nous recherchons mais quand ce n'est pas du direct, qu'est-ce qui nous pousse d'aller plus loin ?
Je crois tout simplement que le fait d'écouter d'autres systèmes et aussi l'avis d'autres nous font aller plus loin !
Mais jusqu'où ?
C'est là le petit hic, car chacun a ses goûts et ses envies sans compter que chacun écoute différemment, alors à quoi ou à qui se fier ?
La réponse est dans la question !
Etre son libre arbitre et ne pas se laisser manoeuvrer est le plus intelligent mais ça a un prix, celui de la modestie.
Personne n'a le système parfait parce que celui qui pense l'avoir remet toujours en question ces choix et ses idées, donc il change élément par élément au fil des écoutes et du temps.
Donc le jour d'une écoute reste un jour d'écoute, le lendemain devient un autre jour donc une autre écoute.
Restons armés contre ceux qui veulent obtenir de nous (vous) le son le plus fidèle de leurs oreilles, qui ne seront peut-être plus les mêmes le lendemain.
A la recherche du son perdu sans ton sens perdu et là tu retrouveras le son de ton sens!

World of Hifi à Zürich, écoutes sans doutes !

Et bien oui le World of Hifi s'est déroulé à Zürich ce week-end et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il y avait du monde pour écouter les 7 systèmes présentés qui allaient de CHF 6770.-- à CHF 315430.-- pour être précis.

Alors entrons directement dans le vif du sujet, je passerai sur les écoutes du premier système qui reste un bon système d'entrée de gamme lors de cette expo mais j'aimerai plutôt parler des deux gros systèmes car "pour moi" il encore rare "oui...oui.." d'avoir la possibilité d'en écouter.

L'ensemble MBL était tout simplement impressionnant :
Blocs monos 9011 + préampli 6010 avec étage phono + HP 101 E + HP 101 E + Platine vinyle Acoustic Solid Machine + CD Phonosophie. CHF 247'050.--.

L'écoute était surprenante d'aération, un aigu de très grande beauté, la qualité des timbres confondants de vérité et le grave se faisait ressentir lorsqu'il le fallait.

La magie s'opérait lorsqu'il le "chef d'orchestre" passait un morceau du concert de Jazz du Pizzareli trio, je me surprenait à écouter l'interprétation, tout y était comme en live, ça se déroulait devant moi, bref que dire si ce n'est que ce fut pour la première fois une écoute de toute beauté où l'on peut se dire que nous en avons pour notre argent "pour autant que l'on en aie suffisamment".

La seconde écoute s'est déroulée sur le plus haut système présenté, c'est :

Platine vinyle : Brinkmann LaGrange (35.150 CHF)
CD-: Soulution 740 (45.000 CHF)
Préampli-Phono: Aesthetix Rhea (5.900 CHF)
Préampli : Soulution 720 (28.500 CHF)
Blocs Mono: Soulution 700 (105.000 CHF Paar)
HP A: Isophon Arabba D (52.000 CHF Paar)
HP B: Eventus Audio Nebula (70.000 CHF Paar)
Rack : Harmonic Resolution Systems MXR (25.880 CHF)
Câbles secteur: Vovox Kabel
A la première écoute "HP Isophon Arabba", je me trouvais mal placé dans la salle qui représentait un L, l'ensemble pronait non pas dans le sens de la largeur de la pièce mais coupait l'angle de celle-ci, donc les auditeurs se trouvaient dans la diagonale de la pièce.

Pour ma part j'étais debout mais je sentais cette fluidité, cette facilité à extraire n'importe quel message d'une facilité déconcertante, l'aigu filait haut et était soyeux, la présence se faisait ressentir comme si l'artiste était présent dans la pièce d'écoute, le grave était tonique avec une magnifique profondeur.

Sur l'écoute du disque vinyle de Miles Davis Live à Berlin faisait ressortir la trompette avec un grain, de la matière et surtout la densité propre à cet instrument sans parler de la pression acoustique. L'aération était superbe, ça respirait.

Lors de la deuxième écoute avec les HP Eventus Audio Nebula sur le même morceau c'était plus ténu, moins ouvert mais par contre plus sec, ça manquait justement d'aération.

Par contre sur les voix d'un groupe vocalistes de jazz, c'était confondant de vérité, j'étais absorbé par le rythme d'un des chanteurs, comme s'il était là devant moi.

A mon sens cette enceinte était neuve et manquait vraisemblablement de rodage, je me suis donc permis d'aller discuter avec le spécialiste et me confirmait effectivement que cet hp n'avait jamais été écouté avant ce moment précis.

Superbe, je crois qu'il serait prétentieux de ma part d'amener quelques critiques négatives, ça serait de mauvaise foi car il faut le reconnaitre que pour une fois des démonstrations comme celles-ci sont à redemander tellement ces deux systèmes ont été mis en œuvre.

Bravo et félicitations à ce High - End de haut vol, j'en redemande.

Contrebasse High End, tout un programme !

Dans notre univers Audiophile et/ou Mélomane il n'y a pas beacoup de choses qui se passe dans nos "contrées romandes" mais alors il devrait exister quelque part des rencontres entres passionnés, là où l'on peut facilement échanger des idées, faire des écoutes, discuter, etc....

Alors de là est né un premier concept, une idée, des lignes directrices, bref un dialogue très constructif entre trois passionnés de la haute-fidélité ayant un point commun de développer quelque chose.

De fait Contrebasse High End est né il y a quelques jours maintenant, son concept est de faire bénéficier d'écoutes in situ ou plutôt at home en vous présentant nos câbles KIMBER KABLE, nous nous déplaçons chez vous et selon votre demande nous vous amenons le câble, nous écoutons ensemble votre système ensuite de quoi nous apposons le câble et écoutons à nouveau en relevant le ou les bénéfices apportés.

Tout ceci se fait de manière "passionnante" car nous ne sommes pas des passionnés pour rien et nous nous laissons prendre au jeu comme vous.

Bref, tout un concept que je vous laisse le soin d'aller voir sur le site Contrebasse High End dont l'article spécifique est ici.

Nous sommes à nos débuts, nous entreprondrons aussi des démarches auprès de revendeurs, importateurs afin de pouvoir vous faire bénéficier d'écoutes comparatives, de nouveautés à découvrir et pleins d'autres infos.

Vous l'aurez deviné que je suis partie prenante dans Contrebasse High End qui devient une un nouveau support passionnant et je me réjouis de vous le faire découvrir.

Kimber Kable, le PK10 Palladian, musique Maestro !

Comment dénigrer l’apport d’un câble secteur tel qu’il soit, de bas de gamme au haut de gamme, toutes les revues spécialisées font écho des améliorations notables desdits câbles secteurs.

Forcément il y avait des marques connues qui ne s’étaient pas lancé dans cette aventure mais maintenant toutes ont comprises qu’elles devaient s’y intéresser dans tous les sens du terme tout autant sur l’aspect commercial pour les parts de marché sans compter sur les revenus engendrés.

KIMBER KABLE a toujours été la marque qui m’a donné une énorme satisfaction tant sur la qualité musicale, qualité de fabrication de leur gamme SELECT et le rapport qualité prix qui reste très bon en comparaison à d’autres marques.

En ce qui concerne le câble secteur PK10 PALLADIAN celui-ci en aspect ressemble à long « tuyau » vert avec une self faite en Palladian emballée dans une boîte noire plastifiée avec une plaquette dorée portant la référence et le no de série du câble.

Techniquement parlant l’apport de la self Palladian améliore le courant amené dans l’appareil en éliminant l’effet de vague, tout est détaillé ici.

Maintenant place à l’analyse musicale qui est vraiment la première chose qui saute aux oreilles c’est justement cette faculté à laisser passer la musique sans aspect flatteur, tout est mélodieux, aucun registre ne prend le dessus sur un autre pour flatter l’oreille.

La précision est très bonne sans être découpée au scalpel car la section cuivre du câble rend hommage à l’image sonore large, elle s’étend au-delà des hauts parleurs en gardant une très bonne focalisation des interprètes, c’est profond et l’image est tridimensionnelle.

L’analyse de l’aigu est de toute beauté, pas de fioritures, de la douceur à en revendre avec une bonne hauteur, par de l’hyper analyse, c’est naturel.

Pour la partie médium on peut dire qu’elle est chaude, la différenciation des instruments à cordes ou des cuivres se fait de façon des plus naturelles, pas de coloration ou de mise en avant pour donner une impression faussée du registre vis-à-vis des autres fréquences.

Le grave est ressenti de manière à donner une intensité à la musique, ça descend bas, c’est détouré, ça ne traine pas, pas d’effet d’embonpoint non plus, la maitrise est impériale, c’est là que l’on peut s’apercevoir du nombre d’informations qui transite dans ce registre.

Vous l’aurez compris, c’est le câble qui peut vous permettre de mieux comprendre ce que veut dire musicalité et facteur d’analyse sans compromettre un registre à un autre.

Du haut de gamme au service de la musique, un point c’est tout.

The HIGH END SOCIETY fait son show à Zurich le 8 - 9 mars 2008 !

The HIGH END SOCIETY est une association de fabriquants et importateurs européens qui se veut être le portail de ce qui se fait de mieux dans la haute fidélité.

Pour la petite histoire tout est né en 1981 après qu'une demande soit faite pour le High End et c'est en 1982 à l'hôtel - Kempinski à Frankfurt que fut le premier show, il remporta un énorme succès.

Depuis the HIGH END SOCIETY propose des manifestations comme celle de Munich en passant par la vente de CD audiophiles produits par eux-mêmes sans but commercial.

Ce qui devient intéressant est qu'ils ont développés le WORLD OF HIFI, celui-ci est spécialement prévu pour des démonstrations de systèmes haute-fidélité partout dans le monde à des dates bien précises et celle qui nous intéresse est celle agendée au 8 et 9 mars 2008 au WTC World Trade Center, Zürich.

L'entrée sera gratuite et les horaires bien définis pour assister aux écoutes présentées en 7 systèmes de prix différents, passant de 6.770 CHF à 315.430 CHF, ce dernier étant composé de :

Platine vinyle : Brinkmann LaGrange (35.150 CHF)
CD-: Soulution 740 (45.000 CHF)
Préampli-Phono: Aesthetix Rhea (5.900 CHF)
Préampli : Soulution 720 (28.500 CHF)
Blocs Mono: Soulution 700 (105.000 CHF Paar)
HP A: Isophon Arabba D (52.000 CHF Paar)
HP B: Eventus Audio Nebula (70.000 CHF Paar)
Rack : Harmonic Resolution Systems MXR (25.880 CHF)
Câbles secteur: Vovox Kabel

Toutes les infos sont ici pour les systèmes et les horaires.

Je pense que ça vaut le détour car il est très très rare de voir ce genre de démos en nos contrées.

Le prix des CD, faut-il céder ou s'aider ?

Pour tout amateur de Jazz « que je suis » il devient périlleux de trouver son bonheur sur le terrain miné Genevois, pourquoi ?
Et bien il faut dire que les grands magasins ne font plus leur beurre avec le Jazz et le Classique aussi, donc Media Markt, City Disc et le petit Manor deviennent des magasins de vente de cd top 10 « Helène Segarra, Charles Trenet, Blunt, Jonny Hallyday » et j’en passe car aujourd’hui pour ces shops la rentabilité est de rigueur, ils misent sur l’audimat.
Il ne faut pas essayer de leur en vouloir car les férus de Jazz ou Classique ne représentent rien à leurs yeux puisqu’ils sont si peu représentatifs de leur clientèle.
La clientèle justement est celle qui veut acheter un disque qui passe en boucle sur les ondes « commerciales » et les prix de ces cd sont aussi bas que possible pour pouvoir les vendre le plus rapidement possible puisque commercialement parlant ils valent un prix « x » à ce jour mais demain ???
Donc il reste encore la FNAC mais le choix se resserre, les grands compositeurs ou artistes restent par contre les nouveautés sont souvent les noms « commercialement » porteurs de style Diana Krall, Norah Jones par exemple, par contre il y a de moins en moins de place aux découvertes « secrètes » d’un nouveau talent car la FNAC réagit selon les magazines de Jazz qui font part des nouveautés et ils sautent dessus, le risque financier est moindre.
Il n’y a plus que les petits magasins tenus par des « grands » spécialistes de Jazz pour trouver éventuellement des nouveautés mais là il y a aussi un peu de retenue car il faut vendre et à quel prix ?!
Un CD devrait coûter au plus CHF 20.— mais dans ces magasins c’est plutôt CHF 33.— et cela commence à faire cher, même très cher.
Si la FNAC sort une nouveauté en sélection elle coute CHF 27.— environ mais sinon le cd est à CHF 30.—, encore et toujours beaucoup trop cher.
Alors comment voulez-vous que les ventes décollent et que les bacs se remplissent de nouveautés en préconisant des prix aussi prohibitifs ?!
La question amène la réponse, tout le monde veut être sûr de rentabiliser ses achats mais si les nouveautés ne sont pas là, pourquoi le client doit-il aller trouver quelque chose qui n’y apparaît pas, toute une hérésie.
Paraît-il que les ventes de cd ont baissés de 20% durant l’année 2007, c’est bien probable et ça continuera car avec des prix prohibitifs et le manque de nouveautés dans les bacs habituent les consommateurs d’aller voir ailleurs, de fait, de se passer des merveilleux conseils des spécialistes, tout le monde y perd.
Acheter un cd de Jazz fait jaser comme le Classique, c’est classique et les spécialistes de cette culture cultivent les prix hauts en couleurs, c’est le prix à payer pour nous !

Prestige Audio Vidéo, le magazine et son net !

La revue Prestige Audio Vidéo dit PAV est bien connue dans le monde de la hifi francophone.
Je me rappelle lors de sa première édition, c'était LA revue haut de gamme qui voulait se démarquer de part le fait de ses comptes-rendus très élaborés, le nombre de pages dédiées au sujet critiqué, de la qualité des photos et aussi par l'ensemble des annonceurs qui mettaient le "paquet" pour se faire connaître.
Et bien ça a vite déchanté si je puis dire.
Au bout d'un an le magazine commençait déjà à battre de l'aile, les articles et critiques devenaient un peu sommaire, les annonceurs se montraient plus "cachés".
A vrai dire la crédibilité était au plus bas car les articles et critiques étaient vraiment très commerciales, je m'en rappelle comme si c'était hier avec un converto Wadia, les Leedh Nazca par exemple, hélas j'en ai fait les frais !!!!!
Alors ce qui faisait vraiment la différence par rapport aux autres revues étaient et est toujours les petites annonces très prisées par les audiophiles et les curieux, donc il y avait toujours un certain pseudo lectorat pour le PAV.
Depuis 2 ans PAV s'est un remis en question, premièrement lorsqu'il s'est fait "racheté" et à ce moment ils ont continué dans le commercial, on avait l'impression de lire du publipostage "le client paye son article", de fait tout est bon, excellent voir sublime dans leurs tests.
Cela fait quelque mois que la parution se fait bimestriellement "1 fois chaque 2 mois" et depuis peu les tests deviennent "normaux" avec un avis plus tranché, moins complaisant, l'analyse relève plus d'une écoute réelle et non pas des "ont dit".
Sur leur dernier numéro, PAV se dit satisfait de leur lectorat qui augmente, du nombre "forcément" de revues vendues en hausse malgré un désintérêt globale sur la presse écrite.
PAV refait aussi son net et il est très convivial, bien amené avec la possibilité de visualiser des bancs d'essais, de faire des téléchargements, de consulter les petites annonces, bref du correct.
Bravo à PAV pour toutes ses améliorations qui amèneront automatiquement une nouvelle crédibilité à ce nouvel état d'esprit.

LA LECTURE EST COMME LA HIFI, ON AIME TOURNER UNE NOUVELLE PAGE POUR MIEUX COMPRENDRE !