Le dessin est assez représentatif de notre époque, l'évolution de la "boîte à musique numérique" tend à écouter les mélodies de manière un peu différente, je ne parle pas des sons mais de la mélodie.
Actuellement la nouvelle génération ne connait "quasiment" pas une restitution 100% analogique celle qui ne passe pas par un signal numérique qui lui même est converti en analogique car il y a aujourd'hui les baladeurs types iPod, les pc, les tablettes, les smart phones qui n'utilisent que des supports numériques, ils rendent de bien gros services pour les mélomanes car tout est mis en oeuvre pour stocker un nombre incroyable de musique, de répertorier des gigaoctets dans un ordre voulu, de facilité l'accès des titres et surtout de compacter tout ceci sur un tout petit espace.
Il faut tout de même une écoute attentive pour permettre de cerner ce genre d'écoute numérisée, elle se veut pure - dynamique et fine mais on peut retrouver un certain
côté punchy mais un manque de liant entre les notes qui permet d'obtenir un rythme beaucoup plus marqué que l'analogique, donc on se voit à écouter un son bien marqué par ses notes, certes un peu moins mélodieux mais tout de même assez entraînant, c'est le but recherché par ce genre d'écoute.
L'analogique lie le signal des différents sons entre eux (il n'y a pas de reconstitution ou de pertes du signal originel) , il nous restitue quelque chose d'équilibré pour notre cerveau qui se met au service de l'oeuvre, il écoute et apprécie "ou pas" mais en aucun cas il se met en "brainstorming" pour coller les différents sons entre eux, il se laisse aller.
Donc pas besoin d'un grave, d'un aigu ou d'un médium comme ci ou comme ça, c'est le côté naturel qui l'emporte tout l’inverse d'une écoute digitale où nous cherchons "le cerveau" à nous connecter à l'oeuvre, c'est l'appréciation d'un enregistrement qui importe à ce moment précis car le rendu sonore en dépendra.
Je ne dis pas que sur un rendu analogique la qualité de l'enregistrement ne sera pas déterminant mais il pourrait devenir secondaire, ce qui est plutôt l'inverse dans le domaine digital c'est pour ceci que dans les systèmes hifi les plus musicaux nous retrouvons souvent une partie tubes "préampli, convertisseurs ou amplis" pour redonner certaines lettres de noblesses aux écoutes digitales, c'est un truchement, rien d'autre.
Pour la petite histoire, il y a quelques années un groupe de jeunes adolescents ont été conviés à venir danser sur certaines musiques classiques "analogiques" et bien ce fut un tollé car justement le rythme n'était plus aussi marqué par rapport à ce qu'ils avaient l'habitude d'écouter ou d'entendre, de fait ils n'ont pas trouvé "leur" rythme, ce qui a provoqué un flou artistique des pas de danse.
Comme quoi tout passe par le cerveau, celui-ci peut facilement assimiler des choses qui ne sont pas représentatives de ce qui l'entoure mais simplement une appréciation dont les inventeurs de compressions numériques l'ont très bien compris !
Actuellement la nouvelle génération ne connait "quasiment" pas une restitution 100% analogique celle qui ne passe pas par un signal numérique qui lui même est converti en analogique car il y a aujourd'hui les baladeurs types iPod, les pc, les tablettes, les smart phones qui n'utilisent que des supports numériques, ils rendent de bien gros services pour les mélomanes car tout est mis en oeuvre pour stocker un nombre incroyable de musique, de répertorier des gigaoctets dans un ordre voulu, de facilité l'accès des titres et surtout de compacter tout ceci sur un tout petit espace.
Il faut tout de même une écoute attentive pour permettre de cerner ce genre d'écoute numérisée, elle se veut pure - dynamique et fine mais on peut retrouver un certain
côté punchy mais un manque de liant entre les notes qui permet d'obtenir un rythme beaucoup plus marqué que l'analogique, donc on se voit à écouter un son bien marqué par ses notes, certes un peu moins mélodieux mais tout de même assez entraînant, c'est le but recherché par ce genre d'écoute.
L'analogique lie le signal des différents sons entre eux (il n'y a pas de reconstitution ou de pertes du signal originel) , il nous restitue quelque chose d'équilibré pour notre cerveau qui se met au service de l'oeuvre, il écoute et apprécie "ou pas" mais en aucun cas il se met en "brainstorming" pour coller les différents sons entre eux, il se laisse aller.
Donc pas besoin d'un grave, d'un aigu ou d'un médium comme ci ou comme ça, c'est le côté naturel qui l'emporte tout l’inverse d'une écoute digitale où nous cherchons "le cerveau" à nous connecter à l'oeuvre, c'est l'appréciation d'un enregistrement qui importe à ce moment précis car le rendu sonore en dépendra.
Je ne dis pas que sur un rendu analogique la qualité de l'enregistrement ne sera pas déterminant mais il pourrait devenir secondaire, ce qui est plutôt l'inverse dans le domaine digital c'est pour ceci que dans les systèmes hifi les plus musicaux nous retrouvons souvent une partie tubes "préampli, convertisseurs ou amplis" pour redonner certaines lettres de noblesses aux écoutes digitales, c'est un truchement, rien d'autre.
Pour la petite histoire, il y a quelques années un groupe de jeunes adolescents ont été conviés à venir danser sur certaines musiques classiques "analogiques" et bien ce fut un tollé car justement le rythme n'était plus aussi marqué par rapport à ce qu'ils avaient l'habitude d'écouter ou d'entendre, de fait ils n'ont pas trouvé "leur" rythme, ce qui a provoqué un flou artistique des pas de danse.
Comme quoi tout passe par le cerveau, celui-ci peut facilement assimiler des choses qui ne sont pas représentatives de ce qui l'entoure mais simplement une appréciation dont les inventeurs de compressions numériques l'ont très bien compris !
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